Pour un monde de paix et de conscience bienveillante partagée !

En nous immergeant dans la beauté de la nature, nous pouvons y déceler les murmures et les histoires qui méritent d'être racontées car ils nous rapprochent de nos racines, de notre humanité et de notre sensibilité en la valorisant et en la rendant universelle tout autant qu'en s'y sentant individuellement profondément reliée.

La plume de mes eaux d'Océane conte et raconte des récits poétiques et initiatiques qui parlent de la magie palpable de la vie, de la sagesse des ancêtres qui nous ont légués tant de valeurs et de savoirs afin de nourrir notre lien à notre environnement et de rentrer en communion avec celui ci, jusqu'au part les plus intimes et infimes de nos vies.

Ces récits, destinés aux petits déjà bien grands comme aux grands encore joliment petits, sont une invitation à explorer les merveilles du (des) monde(s) et à établir un lien profond avec celui (ceux)-ci.

Ainsi,
J’OUVRE REGULIEREMENT DES ESPACES DE CONTES ET ATELIERS CREATIFS
Prochaine dates :
Veillée de femme le 30 octobre 2025, voir dans onglet cercles et contes

Contes & Sagesses ancestrales

Nouk & la grande Baleine bleue

Laissez-vous inspirer par le conte captivant et authentique de 'Nouk et la  grande Baleine Bleue'.

Plongez dans un monde de rêve et de beauté, où le coeur et le soin sont à l'oeuvre pour honorer et rétablir l'harmonie entre terre, ciel et océan..

Il peut être conté auprès des établissements scolaire, ou de soin, les festivals, les événements, dans des jardins, au prêt d'un arbre ou du feu sacré .. dans l'intention de transmettre et sensibiliser aux valeurs d'unité, d'équité, et d'éveil à la préciosité du lien inter-espèce, à l'eau et ses habitants, au "royaume du coeur"..


BIENTOT SOUS FORMAT AUDIO ET LIVRE ALBUM ILLUSTRE PAR ZOE PATTE DE RENARDE, merveilleuse illustratrice chère à mon coeur 


Conte dans mon baluchon prêt à être conté pour les enfants et grands enfants
A partir de 5 ans. 

Inspiration
La mère des contes, par Henri Gougaud


“J’imagine, dans une clairière de la forêt du temps, une troupe de pauvres gens accroupis au seuil d’une grotte. C’est le crépuscule. Le soleil vient de disparaître derrière les arbres. Comme chaque soir, ces hommes, ces femmes s’inquiètent. Et si cette fois il ne revenait pas, ce père lumineux qui tous les matins nous réveille ? Si cet être prodigieux qui fait toutes choses vivantes nous abandonnait à la nuit ? J’imagine, au milieu d’eux, une mère. Elle s’effraie, elle aussi. Elle serre contre elle son enfant. Il geint, il a froid, est mal. Et voilà que ce soir-là l’angoisse de ce fils, dans l’obscurité où ils sont, lui est soudain plus insupportable que celle qu’elle-même éprouve. C’est ainsi que lui vient l’amour, l’oubli de soi dans le souci de l’autre. Et l’amour lui inspire la première berceuse, le premier conte, la première parole dite pour attendrir la nuit, pour tempérer la peur. Sa voix n’est qu’un murmure imprécis mais rassurant, cahotant mais brave. Elle ne sait pas, personne ne sait que cette parole chantonnée à l’oreille de son enfant est le premier surgissement de la source qui deviendra, un jour, le vaste fleuve de toutes les littératures humaines.”